Série LAdultère : Angèle (Partie 10). Surprise Par LImprimeur.
Je mappelle Angèle, jétais à lépoque, une femme de 35 ans (aujourdhui 45), mariée depuis 10 ans, à Johan un artisan électricien de 40 ans, président du club de Handball de notre ville où ma fille Léa joue dans la section jeune. Je ne suis pas un mannequin, mais jai un beau visage et des formes avantageuses : 1,65 m pour 58 kilos, une poitrine 95B. Avec mes cheveux blonds ondulés coupés au carré, mes yeux bleu clair, ma bouche toujours souriante, dans la rue beaucoup dhommes se retournent sur moi. Jétais très bien avec mon mari, nous nous aimions comme au premier jour, jamais je ne mimaginais pouvoir un jour, le tromper, néanmoins cétait bien ce quil arriva.
Ayant vécu une vie tumultueuse avec de nombreuses relations sexuelles avant son mariage. Angèle navait plus du tout lenvie davoir des amants, elle vivait à fond les parties de sexe avec Johan, son époux et celles-ci lui suffisaient amplement. Son passé où elle couchait avec presque le premier venu qui lui plaisait lorsquelle les rencontrait en discothèque ou dans des soirées privées, cette période était définitivement révolue. Cette femme très en vue dans cette ville de province était connue, jamais personne ne pouvait se douter de son infidélité.
Ce jour-là, M Fort le chef de projet pour un imprimeur devait être reçu par le Président lassociation Hand-club afin détablir un devis définitif et de laisser quelques exemples daffiches pour la fête de fin dannée. Johan étant en retard sur son chantier, la faute à labsence dun de ses ouvriers, ne pouvait pas assurer son rendez-vous avec limprimeur. Il avait tout préparé et demanda à sa femme de rencontrer cet homme, pour lui donner tous les éléments nécessaires et recueillir les informations que limprimeur devait laisser. À laccueil, ce fut la secrétaire de lentreprise qui le reçut, dès son arrivée Marie appela le bureau du patron en disant :
Votre rendez-vous est là.
Fais-le entré ! Merci ! répondit Angèle.
Lhomme en pénétrant dans le bureau, resta un instant immobile, bouche bée. Il ne sattendait pas à être reçu par une femme quil trouva très en beauté. Son élégance et son charme lui fit marquer le pas, il fut très impressionné et surtout agréablement surpris. Marc était un homme à femme, il était divorcé et avait dinnombrable maitresses. Sans se lever Angèle lui tendit la main en linvitant à sassoir :
Monsieur Fort, je suppose. Dit-elle. Je suis Angèle Dupont.
Enchanté, en effet, je suis bien Marc Fort. Je ne savais pas que Monsieur Dupont avait une aussi ravissante et jeune épouse.
Angèle comme beaucoup de femme fut conquise par un si beau compliment.
Cet homme dà peine quarante ans, était grand et sans surpoids, ce devait être un sportif ou faisait des activités physiques intenses. Ses cheveux étaient coupés très courts, le front entièrement dégarni. Il avait le visage rond, les yeux marron clair, un nez assez long. Son bouc bien taillé formé dune barbiche accompagnée dune moustache lui cachait légèrement la bouche. Lui aussi avait du charme et un certain charisme. Il respirait la bonne humeur, il devait avoir beaucoup dhumour. Dailleurs Angèle sen aperçut tout au long de la discussion.
En effet, pendant les quarante minutes dentretien, Marc fit non seulement parfaitement son travail en donnant le maximum dinformations, sans rien négliger mais narrêta pas de complimenter, de blaguer sans jamais être grossier ou vulgaire, il fit tout pour rester le plus courtois possible. Au moment de partir, Angèle lui dit que le devis pour la plaquette était très urgent et que son mari désirait ce document pour le lendemain afin de ne pas prendre de retard de fabrication :
Je peux lenvoyer ce soir par mail et venir le chercher demain.
Il ne sera pas là, notre employé est en maladie.
Cela me donnera loccasion de vous revoir, cest toujours un plaisir dêtre en charmante compagnie.
Cet homme plut tout de suite à Angèle, il avait ce petit quelque chose qui lattirait. Elle resta pensive après son départ. Venait-elle de tomber sous son charme ? Elle eut le sentiment que cet homme, était le type même quelle voyait dans ses fantasmes les plus érotiques. Était-il marié ? Il nen avait fait aucune allusion et elle sen moquait royalement car très vite elle reprit conscience quelle était mariée et quelle ne tomberait pas dans le panneau. Elle était toutefois heureuse de le revoir le lendemain. Ce jour-là, cétait le jour de repos de Marie, la secrétaire, je laisse Angèle vous narrer la suite.
Je pensais que la venue de Marc(limprimeur), nétait quun prétexte pour me rencontrer, car tout ceci pouvait se faire par mail, cétait ce que mavait dit mon mari. Elle se demandait maintenant sil ne venait pas uniquement pour moi. Aurais-je montré mon attirance pour lui ? Ai-je dit ou fais quelque chose que je ne devais pas faire ? Je nen savais rien mais il était vrai, cette nuit javais rêvé à une aventure avec ce bel imprimeur dans le bureau de mon mari. Javais mis un chemisier rose suffisamment décolleté qui laissait apparaitre la dentelle de mon soutien-gorge rouge. Je portais un tailleur noir classique, fendu sur le côté, qui dévoilait le haut de ma jambe revêtue de bas auto-fixant noirs. Aux pieds, javais des chaussures noires à talon mi hauts. Jarborais un collier de perles blanches qui habillait avec grâce mon cou et excitait encore davantage mes admirateurs.
Lorsquil était entré après avoir frappé à la porte, mon cur se mit à tambouriner dans ma poitrine. Jétais debout, adossée sur le côté de mon bureau pour lui faire face. Je vis dans son regard une lueur de fauve qui me laissait pantoise. Il fit les quelques pas qui nous séparaient et me prit la main quil garda un bon moment enfin plus longtemps quune poignée de main traditionnelle, tout en plongeant son regard sur le décolleté où il avait une belle vue sur la naissance de mes seins.
Jétais tellement pressée de vous revoir. Avez-vous bien dormi ?
Oui !... Très bien merci. Pourquoi me demandez-vous cela ?
Je ne vous cache pas, que jai rêvé de vous. Me dit-il sans gêne en poursuivant. Vous êtes magnifique aujourdhui, tout en beauté.
Euh
Merci
Balbutiais-je
Je ne savais plus où me mettre, javais dû exagérer dans ma tenue, elle était beaucoup trop sexy pour ce genre de rendez-vous. Mes yeux se posèrent machinalement sur son entrejambe, je maperçus que sous son pantalon marine se dressait une érection plus que probable. Et moi, mon intimité devenait de plus en plus humide, il ny avait rien à faire, cet homme me fascinait. Sil faisait la moindre avance, je succombais et tombais dans ses bras, pensais-je.
Cétait exactement ce quil fit, il devait connaitre les femmes par cur, il sassis sur le fauteuil de mon bureau, me prit la main et me tira vers lui, je me retrouvais assise sur ses cuisses puis il membrassa. Sa langue força légèrement le passage mais pas beaucoup, je lui rendis son baiser. Nous étions restés quelques minutes ainsi, puis il me força à magenouiller entre ses jambes, sans réfléchir, jenlevai la boucle de sa ceinture, et ouvris la fermeture éclair de sa braguette afin de libérer son sexe. Je me mordillais la lèvre inférieure en remarquant quil est déjà prêt à lemploi, je métais penchée afin de lavaler goulument dans ma bouche humide :
Si quelquun arrive ? Sinquiéta-t-il
La secrétaire est en repos aujourdhui.
Je repris sa verge entre mes lèvres, il était aux anges. De la main droite, je coulissais habillement sur sa hampe, accompagnant les mouvements de ma bouche, tandis que ma main gauche malaxait avec douceur ses testicules. Il gémissait de plaisir lorsque je faisais glisser ma langue le long de son pénis pour venir aspirer avec avidité son phallus entre mes lèvres. Il attrapa ma tête entre ses deux mains et la pressa un peu plus contre son bas ventre en disant :
Continu, salope.
Rapidement, je sentais quil était sur le point déjaculer. Il me redressa la tête, repoussa dun mouvement du bras les quelques chemises cartonnées qui se trouvaient sur mon bureau et me releva. Il enleva les boutons de mon chemisier et défit mon soutien-gorge tout en me malaxant les seins et en embrassant délicieusement mes tétons qui pointaient déjà :
Tu es une sacrée catin, je lai su tout de suite. Je vais te baiser comme tu le mérites, tes trop bonne.
Il mhumiliait mais ça ne métonnait pas, jétais comme transporter, javais quune envie cétait quil me prenne. Je massis sur le bureau, il me coucha dessus, laissant mon ventre tourné vers lui. Jécartai les jambes légèrement. Il se pencha sur moi et membrassa. Il fit glisser mon tailleur qui tomba au sol, il se baissa à son tour et membrassa les fesses avec passion, lune après lautre, il les pétrissait entre ses larges mains calleuses.
Il descendit ma petite culotte afin de mettre à nu mon intimité. Mettant ses mains sur mes hanches, il enfila directement sa langue dans ma petite chatte trempée, et fouilla à lintérieur pour se délecter de mon jus. Je métais immobilisée et ne pouvais pas vraiment me débattre, je poussais de petits gémissements. Il sortit sa langue de mon vagin et descendit légèrement afin de titiller et de lécher avec malice mon petit trou de balle. Cela marracha un cri de surprise et je le suppliai darrêter, même si au fond de moi, cela avait allumé la flamme dun désir, la sodomie était devenue pour moi le summum.
Il joua avec mon clitoris. Javais les jambes relevées, légèrement écartées, mais retenues lune à lautre par ma petite culotte. Glissant un doigt, puis deux dans ma chatte chaude et humide, il accélérait les mouvements de sa langue sur mon bouton du plaisir, je mordais mes lèvres pour éviter de hurler. Mes mains sactivaient à triturer les deux tétons rosés qui pointaient fortement. Il insistait pendant quelques minutes, jusquau moment où, cédant à lorgasme, je me cambrai sur le bureau et laissa échapper trois giclées de cyprine qui venaient mouiller son avant-bras. Cela lexcita beaucoup, il se précipita pour enfiler son préservatif et vint poser le gland de sa verge à lentrée de mon vagin qui le réclamait :
Je vais te baiser sale catin, cest ce que tu veux salope
Le fait dutiliser ses mots crus me donna envie de le recevoir mais en même temps le fait dêtre dominée me perturbait, jétais tellement pressée de recevoir son sexe que je ne répondis que part un signe de tête en le regardant. La situation que je vivais, me procurait un plaisir supplémentaire, le fait de tromper son mari avec un inconnu et la peur de linterdit était tellement jouissif. Il sintroduis en moi lentement, délicatement sans aucune difficulté, je sentais son membre gonflé qui me remplissait toute entière et venait buter dans le fond de mon intimité, à intervalles réguliers. Ses longs mouvements, délicats et profonds me faisait gémir de plaisir.
Ses mains parcouraient mon corps, caressaient mes jambes, mes cuisses relevées, mes hanches, mon ventre et pétrissaient mes seins gonflés par le désir, il accélérait la cadence, jusquau point de lorgasme, jenvoyai une nouvelle salve de bonheur qui mouilla lintérieur de mes cuisses. Je venais de crier en jouissant une nouvelle fois mais jen voulais toujours plus :
Arrête Marc ! prends-moi par derrière.
Tu veux que je tencule ?
Oui ! Viens
Il exécuta mes ordres, jen étais fière mais comment pouvait-il refuser, tous les hommes ne rêvent que de cela. Il présenta sa queue sur mon orifice qui se préparait à le recevoir. Son sexe en pleine érection entra doucement sans aucune résistance dans mon rectum. Jétais comblée, je gémissais toujours et encore avec plus dintensité, alors quil accélérait la cadence avec de véritables coups de boutoir, je me tordais dans tous les sens, mes jambes reposant sur ses épaules, il me malaxait ma poitrine avec force en prenant soin de r mes mamelons. A mesure quil augmentait le rythme, ma main sactivait sur mon clitoris, je sentais un nouvel orgasme monter en moi. Afin déviter de crier dans le bureau, je lembrassais goulument. Soudain, un orgasme foudroyant que je navais pas encore connu, me remplit. Ce nétait pas comme dhabitude, il semblait provenir des profondeurs de mon corps, je me cambrai une dernière fois, puis mon corps tout entier fut parcouru dune vibration étrange.
A son tour, il nen pouvait plus, il sentait que léjaculation montait en lui, il me le dit, tout de suite je lui répondis :
Non ! Pas dans la capote, je veux que tu gicles sur mon ventre.
Aussi tôt, il arracha le préservatif de son sexe, je le regardais comme une véritable chienne qui voulait se faire arroser de semence. Sa main sactiva avec force sur ma hampe en se branlant, je le regardais dans les yeux.
Ne pouvant résister, il jouit à son tour, il posa sa verge sur mon ventre et déversa sur moi, les flux de son sperme qui venaient sétaler de mes seins jusquà mon pubis, mon nombril en était recouvert. Pendant que Marc sessuyait et se rhabillait, je restais couchée sur le bureau en métalant le sperme sur toute ma poitrine. Jétais épuisée mais totalement libérée, les yeux toujours fermés, je ne pensais à rien.
Cétait pas mal, tu baises bien. Tu diras à ton mari que je lui téléphonerai dès que le travail sera prêt. Quil menvoie le bon à tirer pour les affiches. Salut. Dit Marc en refermant la porte derrière lui.
« Goujat ! Quel salaud ! Connard ! » Me dis-je. Il était parti sans même me dire un petit mot gentil, quun « salut » comme seule politesse. Ce fut là que je revins sur terre, je venais de tromper mon mari avec un crétin fini. Javais honte de moi, « Comment ai-je pu être aussi conne ? ». Javais sur le coup oublié tout le plaisir quil mavait apporté car je lui en voulais et en voulais surtout à moi-même.
Jai décidé de ce jour-là que jamais plus je prendrai un amant aussi beau quil fut. Dix ans sont passés depuis cet adultère et jamais plus, je nai osé recommencer. Je ne lai toujours pas dit à mon mari, je pense quil ne doit pas le savoir car cela pourrait sans aucun doute nous faire du mal.
Chères lectrices et chers lecteurs, jaimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous.
Si comme Angèle vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email. Jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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